États-Unis. L’interdiction d’entrée sur le territoire décrétée par Donald Trump sera préjudiciable pour les personnes en quête de sécurité et favorisera la haine et la discrimination
En réaction à la décision du président Donald Trump imposant une nouvelle interdiction discriminatoire d’entrée sur le territoire américain pour les ressortissant·e·s de l’Afghanistan, de l’Érythrée, de la Guinée équatoriale, d’Haïti, de l’Iran, de la Libye, du Myanmar, de la République du Congo, de la Somalie, du Soudan, du Tchad et du Yémen ainsi qu’une interdiction partielle pour les personnes originaires du Burundi, de Cuba, du Laos, de la Sierra Leone, du Togo, du Turkménistan et du Venezuela, la secrétaire générale d’Amnesty International, Agnès Callamard, a déclaré :