[vc_row full_width=”stretch_row_content_no_spaces”][vc_column][vc_single_image image=”3508″ img_size=”full” label=””][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]A l’occasion de la journée mondiale des réfugiés, célébrée le 20 juin de chaque année, Amnesty International Algérie a déclaré :
« Nous lançons un appel aux autorités algériennes pour l’adoption, dans les plus brefs délais, d’une législation nationale sur le droit d’asile conforme aux normes internationales, notamment la Convention relative au statut des réfugiés de 1951, son protocole additionnel de 1967, et la Convention africaine sur les réfugiés.
Une loi sur le droit d’asile permettrait d’offrir une protection suffisante aux réfugiés et demandeurs d’asile et de protéger de la violence toutes les personnes qui ont fui leur pays et qui se trouvent en Algérie en quête de sécurité.
Les autorités doivent arrêter les arrestations arbitraires et les expulsions des ressortissants étrangers qui ne respectent pas les procédures légales prévues par la loi nationale et par les conventions internationales dont l’Algérie est signataire et le principe de non-refoulement.
Il est scandaleux que la communauté internationale, notamment les pays riches, se montre incapable de réellement partager la responsabilité de protéger les réfugiés. Il est urgent qu’elle parvienne à se mettre d’accord sur un système équitable pour offrir une protection aux personnes forcées à tout quitter en raison des conflits, de la violence et de la persécution.
On compte 22,5 millions de réfugiés dans le monde, 1,2 million d’entre eux ont besoin d’une réinstallation dès maintenant et 84 % sont accueillis par des pays en développement. »
Publié le 20.06.2018
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