Emprisonnée pour avoir dénoncé la peine de mort.

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Atena Daemi est emprisonnée pour avoir dénoncé la peine de mort en Iran.

Atena Daemi rêve que la peine de mort soit abolie en Iran. Elle a écrit des publications sur Facebook, Twitter et Instagram, distribué des tracts et participé à des manifestations pacifiques. ces actions toutes simples ont été retenues à titre de “preuves” pour la condamner à sept an de prison.

Signez notre pétition pour demander aux autorités iranienne de libérer Atena.

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[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]Atena Daemi, jeune activiste de 29 ans, est prise pour cible par les autorités iranienne pour ses actions en faveur de la promotion des droits humains, particulièrement son implication dans les mouvements contre la peine de mort.

A ce sujet, elle a rédigé des publications sur Facebook et Twitter qui critiquaient le bilan du pays en matière d’exécutions. Elle a distribué des tracts et elle a participé à une manifestation pacifique contre l’exécution d’une jeune femme. Malheureusement, en Iran, prôner ces valeurs demande un grand courage et n’est pas sans conséquence.

Atena purge maintenant une peine de sept ans d’emprisonnement. Elle n’a eu droit qu’à un simulacre de procès : en seulement 15 minutes, elle a été reconnue coupable sur la base d’accusations forgées de toutes pièces, notamment de « propagande contre le système », d’ « insulte au fondateur de la République Islamique d’Iran et au guide suprême » et de « rassemblement et collusion en vue de commettre des infractions compromettant la sécurité nationale ».

Prisonnière d’opinion depuis novembre 2016, Atena est détenue dans des conditions épouvantables. Elle a été frappée, aspergée de gaz poivre et placée en isolement. Elle dénonce également des conditions sanitaires catastrophiques et une prison insalubre, allant à l’encontre des règles minima pour le traitement des détenus. Pourtant, Atena continue à se battre pour les droits humains. Plus tôt cette année, elle a entamé une grève de la faim pour protester contre son transfert brutal vers une prison tristement célèbre : celle de Shahr e-Rey, en périphérie de Téhéran, habituellement réservée aux femmes coupables de crimes violents.

Le traitement cruel qui lui a été réservé n’est qu’un exemple de l’intense répression exercée en Iran contre les, personnes qui font entendre leur voix pour plus de justice dans le pays. Des dizaines de personnes ont été emprisonnées, et de nombreuses autres font l’objet de mesures de surveillance, d’interrogatoires et de poursuites interminables visant à les réduire au silence.

Atena Daemi n’a fait qu’exercer son droit à la liberté d’expression, de réunion et d’association. Elle doit être libérée immédiatement et sans condition.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]